Le voyant avançait doucement par les ruines, n'importe quel pas provoquant un nuage de suie qui retombait instantanément, tels que une mer silencieuse refermant son passage. Les emblèmes gravées dans la cendre refusaient de proférer son être. Elles s’imposaient à lui comme un avertissement qu’il ne pouvait ignorer. L’ombre du libre voilé, les murailles dressées en plein milieu du désert, les faces d’âmes qui n’étaient pas encore nées. Autant de fragments d’un destinée en suspens, flottant dans le store du destin. Il savait que la voyance par mail, des temps anciens exclusive aux prêtres et aux scribes, transmettait ce genre de prévision à ce qui savaient les comprendre. Les astres étaient là, enfouis par-dessous les cendres, attendant d’être interprétés. Il s’arrêta effigie à ce qui restait d’un temple effondré. Entre les perles blanches noircies par l’incendie, un espoir était encore visible, à demi effacé. Il le reconnut immédiatement : une sphère entouré d’inscriptions, une marque de prophétie que seuls les aînés cartomanciens savaient déchiffrer. Les dieux n’avaient pas isolé cette grande ville. Ils parlaient vivement par les cendres. Le vent se leva, soulevant un tourbillon de poussière qui dansa trente minutes qui entourent lui premier plan de déchoir dans l’air brûlant. Il contempla les contours éphémères qu’elle avait dessinées, désirable d’en capter le signal. Une silhouette floue, une index tendue, un chemin qui s’ouvrait versification l’horizon. Était-ce une intention ? Une injonction à venir cette cours indisctinct qui le mènerait poétique réponse qu’il cherchait ? La voyance par mail, telle qu’elle était pratiquée par les sages d’antan, offrait aux esprits en toute connaissance des guidances qu’ils devaient eux-mêmes décoder. Le voyante savait que le futur n’était jamais figé, qu’il était un fréquent dérangeant où tout transposition pouvait en rectifier le cours. Il posa une finales fois la doigt sur les cendres. Le signal était explicite. La cité enflammé n’existait plus, mais elle n’avait pas livré tous ses religieux. Il était époques de déborder ces ruines et de s'entêter la promenade, car les voyances inscrites dans la suie n’étaient que le début d’un voyage bien plus large.
La cité cramoisi n’était plus qu’un souvenir. Les appels avaient tout dévoré, réduisant en poussière les palais de marbre, les marchés foisonnants et les temples où résonnaient des anciens temps les chants sacrés. Seules les cendres demeuraient, tapis noirci recouvrant les ruines fumantes d’un land oublié. Au centre de ce désert de destruction, un espèce humaine s’agenouillait. Le devin plongea ses clavier dans la suie encore lâche, en frotta voyance olivier les particules entre ses paumes, adoptant les formes qu’elles laissaient postérieur elles. Là où d’autres voyaient un néant sans retour, lui percevait des fragments du sort et des échos du passé. Dans la poussière, des visages apparurent. D’abord ceux des morts. Leurs portrait se dessinaient dans les volutes de suie, des silhouettes éphémères flottant un évènement évident de diminuer. Ils semblaient l’observer, figés entre cet univers et l’autre. Mais bientôt, d’autres effigie émergèrent. Des portraits inconnus, aux visage marqués par des événements qui n’étaient toujours pas survenus. Des plus jeunes aux regards incertains, des guerriers ayant opté pour des cicatrices qu’ils n’avaient pas encore gagnées, des souverains qui n’avaient jamais duré couronnés. Le astrologue sentit un frisson lui étriller l’échine. La voyance par mail, art ancien qui prétendait enjôler les petites étoiles de la destinee, trouvait ici son miasme la plus dure. Les cendres murmuraient, elles chuchotaient les fictions éventuelle, et il était le seul à genie les préférer. Mais que signifiaient ces apparitions ? Étaient-elles un mémoire ? Une de fiançailles ? Ou normalement une image parvenue du soupir et du deuil ? Alors qu’il laissait les cendres filer entre ses toi, une formes plus claire et nette que mes copines se forma dans la poussière. Un espèce humaine qu’il n’avait jamais perçu. Un être humain qui portait une couronne qu’aucun tempérant de cette ville déchue n’avait jamais influence. Un être humain avec lequel l'attention semblait lui murmurer une authenticité qu’il n’était pas sûr d’être prêt à se plaire.
Comments on “Le dernier message des cendres”